La voie de la noblesse...
Lorsque l'on arrête de se juger, on cesse de juger les autres et in fine, de se déshonorer. La vie ne cessera de tester les capacités de l'être à faire preuve de gentillesse et de compassion. Il s'agit de laisser le manteau de victime, les addictions, le plaisir égoïste et désuet au placard, de prendre conscience des schémas répétitifs dans lesquels l'être est prisonnier de lui-même et dans lesquels il retombe irrémédiablement.
Reprendre les rênes de sa vie en commençant à se prendre en charge et à prendre ses responsabilités.
Lorsque l'on prend conscience de cette clé et de son pouvoir, elle agit comme une valve de régulation émotionnelle. L'être n'est plus esclave de ses émotions. Il dialogue avec elles comme un bon père de famille. Il les accueille et les réconforte. Ainsi, sa vie s'allège. Il retrouve un second souffle et rayonne une joie de vivre communicative pour tendre vers un calme divin.
Comment on se traite soi-même reflète la façon dont on traite les autres et son environnement...
La grâce est le féminin divin par excellence. L'être rayonne de grâce lorsqu'il s'autorise à regarder ses parts d'ombre dans les yeux et à enfin se comporter de façon différente. Il choisit une autre voie, plus harmonieuse et alignée avec lui-même.
La voie royale, noble.
La grâce est l'état d'être qui transcende la souffrance.
“Graciousness isn’t just politeness or courtesy, although it may contain both of these qualities. It’s a whole cocktail of noble qualities. It’s also very refined and often very subtle. It’s an attitude carried in our aura, and it’s rooted in a deep reverence for all life.” – Richard Rudd, 64 Ways, #Gene Key 22
Je vous souhaite une agréable introspection, mes poussières d'étoile!
Chaleureusement vôtre,
Clara J.