La clé numéro 4, de l'intolérance au pardon.
Le chemin de la compréhension.
Le pardon ne se cherche pas. Il arrive au moment opportun, au moment où l'être est prêt à laisser tomber le drame, les peurs et ce qui l'enchaine, au moment où il est prêt à dépasser son statut de victime et enfin vivre sa vie. Il survient lorsque l'on relâche l'emprise du transgénérationel et les dettes karmiques. Mais surtout lorsque l'on comprend que rien n'est personnel, lorsque l'on se met à voir et à comprendre le monde tel qu'il est et pas tel qu'il pourrait être ou aurait dû être. Le pardon provient de la fusion du mental et du cœur.
Les questions se dissolvent.
# Le mental est l'expression d'un manque de foi en la vie.
Elles n'ont plus lieu d'être.
Cela n'a même plus d'importance.
Les choses sont ce qu'elles sont. On comprend et perçoit son environnement avec l'intelligence et la logique du coeur.
Un jour, l'être cessera à tout prix de vouloir savoir, il saura un point c'est tout. Il sera à même de tolérer l'inconfort, le manque de foi et de confiance.
“If we have this Gene Key prominently in our profile, we’re going to stop needing to know, and finally understand. We’ll start laughing. Happiness never comes through answers. It comes only when we’re so tired of answers, that we just decide to live the questions fully. Our life radiates the answer, and finally we can relax and be of the deepest service to the world.” – Richard Rudd, 64 Ways
Pour aider à intégrer cette clé, je ferais appel à Leuviah et Zaphkiel.
Ayons confiance en l'intelligence de notre coeur...
A tout bientôt, mes poussières d'étoile.
Clara J.